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Archives Mensuelles: novembre 2020

Karl-Nina : un chemin

29 dimanche Nov 2020

Posted by Roseleen in lecture

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J’ai passé une excellente semaine en compagnie de Nina et de ses proches et ai été un peu triste de les laisser.

Nina, trentenaire, rentre dans son petit village de Dordogne après quelques semaines de vacances chez sa meilleure amie en Normandie. On est en juin 1940, c’est l’exode. Le voyage est difficile, c’est la panique et l’horreur sur les routes de France. 

Nina récupère deux enfants, Hannah et Jean, qui viennent de perdre leurs parents. Après un voyage harassant, elle parvient à les ramener avec elle, chez son père, instituteur, où elle vit avec son frère Adrien. La famille, ainsi que le fiancé de Nina, Vincent, vont prendre les deux enfants sous leurs ailes. 

Quelques jours plus tard, l’armée allemande envahit le village. Nina fera la rencontre de Karl, un lieutenant de la Wehrmacht, une rencontre qui bouleversera son destin et celui de Karl.

Quelle lecture passionnante ! Riche en rebondissements, très ancrée dans la réalité car extrêmement bien documentée historiquement, d’ailleurs de brefs rappels des faits historiques sont présentés en début de chapître, j’ai adoré celà.

L’histoire de Nina et de ses proches est racontée sous l’oeil d’Hannah, c’est très original, j’ai beaucoup aimé également.

Au delà d’une histoire d’amour fort complexe, l’auteure nous emporte au coeur du vécu des années de guerre et d’après-guerre chez les habitants d’un petit village, avec un regard sociologique aiguisé rempli d’amour, et c’est là le vrai sujet du livre. C’est ce qui m’a happée. Parce que la romance, mois, c’est pas mon truc. Mais à la fois les amateurs de romance et ceux d’histoire s’y retrouveront et çà, chapeau Lisa !

J’ai beaucoup apprécié le personnage de Nina, forte, déterminée, fidèle à ses valeurs, ses sentiments profonds et à ses promesses quoiqu’il lui en coûte, une femme au coeur immense, toute sa vie se dévouant à ses aimés. 

Allez, un petit bémol, tout de même, faut bien, hein…çà va bien trop vite sur la fin, j’aurais adoré plus de détails de vie, plus de temps passé aux côtés de Nina dans son quotidien, surtout vers la fin de sa vie.

C’est un très beau roman, à glisser les yeux fermés sous le sapin à destination de toute personne aimant la romance et/ou la période de la seconde guerre mondiale. Soutenons les auteurs indépendants ! 

Je glisse un lien vers l’article de blog de Lisa au sujet de la parution de son livre…

http://lisagiraudtaylor.com/mes-livres/karl-et-nina/

Et puis vous partage la magie de mes retrouvailles avec la forêt hier, ce fut un bonheur immense.

Excellent dimanche !

Au manoir des saphirs

27 vendredi Nov 2020

Posted by Roseleen in écriture, collage, poésie

≈ 18 Commentaires

Allez hop, un peu de poésie ! Je me suis bien amusée à faire celle-ci, j’ai même gloussé 😘🐓. En espérant vous faire passer un bon moment, voire même glousser…

C’est au manoir des saphirs

que la fée, 

drapée comme jamais

de sa panoplie alchimiste,

crochète avec génie

ses programmes stars

pour les patients de la hit-list.

Ponction lombaire à saveur zen,
maquillage pompon sur un plateau,

rencontre possible de trio à plumes,

les initiations seront un joyeux moment,

au coeur de voyages éternels

et de replay hypersoniques.

🐓

Je vous souhaite un vendredi hypersonique !🤗

La famille Martin

23 lundi Nov 2020

Posted by Roseleen in lecture

≈ 19 Commentaires

J’aime l’écriture et les jolies histoires de David Foenkinos. Ses petites touches d’humour, ses notes de bas de page qui me font toujours sourire. 

Alors hop, sans même savoir de quoi il parlait, j’ai mis il y a quelques semaines son dernier roman dans mon panier réel, c’était la grande et belle époque où on avait encore le droit de palper, humer du papier, d’acheter sans cliquer.

Je n’ai pas été déçue. Le narrateur est un écrivain parisien assez connu, en mal d’inspiration. Lui vient alors à l’idée de descendre dans la rue, d’aller vers la première personne qu’il voit et de lui demander si elle accepte de parler d’elle et de faire l’objet de son prochain roman. 

Il tombe sur une dame âgée rentrant de ses courses, tirant son caddie violet bien chargé. Madeleine Tricot, veuve, ancienne couturière, petite-main de Karl Lagerfeld, accepte de jouer le jeu. Son histoire et ses petits secrets vont embarquer très loin notre narrateur,  qui va également devoir raconter la vie de la fille de Madeleine, Valérie Martin, prof d’histoire géo en banlieue, quarantenaire qui s’ennuie un peu auprès d’un mari effacé et de deux ados complètement euh…ados. Valérie est ravie de cet écrivain tombé du ciel qui va pouvoir pimenter un peu  sa vie et celle de sa famille. 

C’était très bon ! Bien mené, concept super original, cocasse à souhait, touchant aussi, un sacré bon moment de lecture.

Un chouette petit cadeau à mettre sous le sapin si vous avez des lecteurs parmi vos proches.

Allez hop, bonus :  une petite photo prise hier lors de ma balade dans mon périmètre autorisé, pour vous souhaiter une lumineuse semaine. J’ai adoré capter cette lumière de fin de journée, instant magique.

Écoute le chant du vent

18 mercredi Nov 2020

Posted by Roseleen in lecture, littérature japonaise

≈ 15 Commentaires

« Tiens, tu connais ? Çà devrait te plaire… », me dit collègue-amie, me tendant l’ouvrage. Masquées, en présentiel, on se refile en douce de délicieux produits non essentiels mais qui permettent de tenir : livres, amandes, clémentines, thés, chocolats.

Boudiou ! Un Murakami que j’ai pas lu ! Joie.

Il s’agit des deux premiers écrits de l’idole, rédigés à la fin des années 70, au petit matin sur sa table de cuisine, quand il rentrait du petit club de jazz qu’il venait d’ouvrir à Tokyo.

Dans « Écoute le chant du vent », on suit un jeune étudiant de Tokyo, de retour durant ses vacances d’été dans sa ville natale. Tous les soirs il rejoint son ami d’enfance, « le Rat », un jeune riche oisif et alcoolique, dans un bar de seconde zone où ils boivent et mangent des frites. Un soir entre une femme amputée d’un doigt à la main gauche. On suit les histoires entre ces trois personnages. La magie Murakami prend.
Dans « Flipper », on retrouve un an plus tard le narrateur qui nous raconte sa relation avec une ancienne petite amie qui s’est suicidée, ainsi que sa passion pour un vieux flipper, qu’il cherchera dans tout le Japon. C’est moins structuré et plus glauque, sans réelle histoire, un peu moins agréable.

C’était une lecture bien sympa même si évidemment, c’est beaucoup moins abouti que ses futurs romans. On y trouve déjà les thèmes chers à Murakami : les ambiances de nuit un peu envoûtantes, les bars, les amitiés et amours bizarres. Le style est déjà là : écriture limpide, poétique sans être chargée, références culturelles récurrentes en terme de musique, notamment, et puis la touche surréaliste que j’adore. 

Les grandes marées

12 jeudi Nov 2020

Posted by Roseleen in lecture

≈ 6 Commentaires

Ce  petit roman québécois de 1986 prenait la poussière dans ma PAL depuis plus de deux ans, je l’avais même oublié, il aura donc fallu un virus pour me faire farfouiller dans mes étagères et dégoter cette petite pépite au final engloutie le temps d’un week-end.

Teddy est un traducteur solitaire ultra pointilleux qui ne se déplace jamais sans ses dicos. Un puriste du vocabulaire. Son rêve est de vivre sur une île déserte. 

Son patron, un excellent investisseur à présent méga riche, s’est mis en tête de dorénavant consacrer son temps et son argent à rendre heureux les gens qui l’entourent. 

Zou, il embarque Teddy et son chat Matousalem dans son hélico sur une petite île déserte du fleuve Saint-Laurent, qui ne contient que deux toutes petites maisons. 
Chaque semaine, le boss vient en hélico boire un café avec Teddy, lui apporter de nouvelles traductions et des vivres. 

Un jour, il ramène aussi Marie, son chat et ses bouquins. Marie est solitaire également, nageuse hors-pair et praticienne de la lecture ultra lente pour retenir tout ce qu’elle lit. Teddy et Marie vont super bien s’entendre et couler des jours heureux sur l’île. Les chats aussi s’éclatent allègrement.
Jusqu’au jour où le boss ramène aussi sa femme, « tête heureuse », un brin déjantée, puis un professeur relou, puis un animateur gourou… Chacun va devoir trouver une place, s’adapter pour tenter de créer une communauté heureuse. Pas facile…

Quand au boss,  on le voit de moins en moins.
Ah là là, quelle histoire ! Quelle ambiance étrange et déjantée ! J’ai adoré ce texte  très touchant, très humain, à la lisière du surréalisme, comme un bon texte de Boris Vian ou de Yoko Ogawa. L’écriture est superbe, très poétique, l’humour fin, les personnages originaux, je suis bien heureuse d’avoir d’autres Jacques Poulin dans les tréfonds de ma PAL ! 

Rose

08 dimanche Nov 2020

Posted by Roseleen in lecture

≈ 13 Commentaires

Nous voici en plein coeur de Paris, vers 1850, sous le règne de Napoléon III, à l’époque des grands travaux du baron Haussmann pour assainir la ville. 

Des travaux contestés par les parisiens, qui édentent le vieux Paris si compact, créent un énorme nuage de poussière permanent au-dessus de la capitale et surtout exproprient beaucoup de gens. 

Rose, la soixantaine bientôt, vit dans la maison où elle a vécu toute sa vie depuis son mariage, une vie de bonheur auprès de son mari récemment décédé, de son petit garçon adoré parti trop tôt et de sa fille aînée dont elle n’a pas su être proche. Elle vit désormais seule, sa fille, mariée, et vivant en province. 

Rose est très bien intégrée dans la vie du quartier, elle a ses petites habitudes chez les commerçants. Elle loue le bas de sa maison à un vieux libraire ainsi qu’à une jeune fleuriste très dynamique, indépendante et créative, avec qui elle va devenir très amie. 

Rose aime faire ses petits tours dans le quartier, lire dans sa maison douillette et faire de longues balades au jardin du Luxembourg, bras-dessus bras-dessous avec ses amis. 

Le jour où elle reçoit une lettre d’expropriation annonçant que sa rue et donc sa maison va être détruite pour le futur tracé du boulevard Saint-Germain, Rose s’associe aux habitants et commerçants de son quartier dans la lutte pour la préservation de leurs biens et de leurs souvenirs.

Sous forme de lettres qu’elle écrit à son mari décédé, Rose raconte sa détermination à rester jusqu’au bout dans leur maison, se remémore sa vie, lui livre certains secrets et souffrances jusque-là gardés que pour elle car ne pouvant être révélés. 

Un chouette roman épistolaire, un portrait de femme intéressant et surtout une belle plongée dans la vie sous le second empire, le tout sous une plume bien agréable.

Lorsque je me baladerai sur les grands et si beaux boulevards parisiens, j’aurai désormais une petite pensée pour tous ces gens qui ont été contraints à quitter leur petite vie pour l’embelissement de leur ville.

Une bien jolie lecture à recommander aux amoureux de Paris.

Chien-Loup

04 mercredi Nov 2020

Posted by Roseleen in lecture

≈ 16 Commentaires

Une bien bonne lecture du mois d’octobre. Décidément, j’aime beaucoup Serge Joncour.

Lise, la cinquantaine, loue pour le mois d’août un gîte perdu au milieu de collines, dans le Lot. Une maison rustique au milieu de la nature. 

Elle a besoin de quitter Paris, de calme et de ressourcement, après un combat contre une maladie. Elle veut peindre à gogo les magnifiques vues depuis la maison, méditer, cuisiner, siester.

Son mari Franck accepte à contrecoeur mais par amour. Lui qui, producteur de cinéma, est addict aux mondanités et aux réseaux sociaux, fait un peu la tronche. Il est en manque dès leur arrivée et court partout dans les bois, portable levé, espérant désespérément voir apparaître sur son écran les précieuses petites barres annonciatrices de captation de réseau. C’est très drôle.

L’annonce parlait d’un endroit calme certes, mais il ne l’imaginait pas aussi perdu et surtout loin de tout réseau téléphone et internet, il ne pensait même pas que celà puisse encore exister…
Franck était loin non plus d’imaginer le sombre passé de cette maison, maudite par tous les habitants du coin, une ancienne bâtisse de vignerons où étaient venus trouver refuge durant la première guerre mondiale un dompteur allemand et ses fauves, privés par la guerre de leurs représentations. 

Il n’imaginait pas non plus faire la rencontre de ce gros chien sauvage qui semble l’adopter dès le premier soir de leur arrivée et avoir fort envie de l’emener visiter les alentours…

Au fur et à mesure de ses balades et virées au village pour capter le précieux réseau, Franck va déterrer une histoire du passé qui hante les habitants de coin sous forme de légende et superstitions. 

Il va en même temps découvrir que la sauvagerie est toujours bien nichée dans notre vie contemporaine, une prise de conscience qui le conduira à remettre en question sa vie, ses choix professionnels. Passionnant.

Plume riche, feuillue-terrue (ouais j’invente, c’est ce qui me vient alors j’écris), magique qui peut effleurer agréablement la fantaisie, réflexions contemporaines ultra profondes, touche fine cocasse, décidément Serge Joncour est devenu un de mes chouchous de la scène littéraire française actuelle.

La république de bonheur

02 lundi Nov 2020

Posted by Roseleen in Uncategorized

≈ 11 Commentaires

Ah ah quel titre, hein ! Çà fait bien envie en ces temps troublés…bref.

Ce n’est donc pas une annonce présidentielle impromptue 🤣, mais le titre de la suite du roman « La Papeterie Tsubaki » d’Ito Ogawa, que j’avais beaucoup aimé. 

Hatoko vit toujours à Kamakura, magnifique ville entre mer et temples (à une heure  environ de Tokyo en train, faut absolument y aller si vous allez au Japon, et y rester quelques jours – note à moi-même pour le prochain voyage, trop regretté de n’y avoir passé qu’une journée -). 

Hatoko tient toujours la petite papeterie héritée de sa grand-mère, où elle exerce le talent de calligraphe qu’elle lui a enseigné, à l’occasion de ses prestations d’écrivain public.

Elle s’est mariée et découvre la vie d’épouse et de mère puisque son mari a une petite fille. Elle lui enseigne à son tour la calligraphie, mais aussi les vieilles recettes de sa grand-mère, comme les boulettes à l’armoise ou le thé vert fait maison. 
L’écriture est toujours aussi douce, les balades dans Kamakura extraordinaires de souvenirs. Mais l’histoire est beaucoup plus centrée sur la vie de famille, avec un côté un peu fleur bleue qui m’a agacée. 

Il y a beaucoup moins de situations originales de clients sollicitant son aide d’écrivain public, de réflexions d’Hatoko quand au choix de ses phrases, encres, papiers, tout ce qui m’avait enchantée dans le premier roman. 

Bref, j’ai été quelque peu déçue par ce second tome qui m’a un peu ennuyée, mais  qui reste toutefois agréable à lire et constitue une bien jolie évasion dans ce quotidien sous cloche.

Belle semaine !

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