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Archives de Catégorie: littérature américaine

 » Huit crimes parfaits « , de Peter Swanson

20 dimanche Mar 2022

Posted by Roseleen in avis de lecture, lecture, littérature américaine, thriller

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Boston. Malcolm, veuf trentenaire, tient une librairie spécialisée en littérature policière. 

Quelques années avant d’ouvrir sa boutique, il tenait un blog littéraire. Il y avait notamment publié un billet qui recensait selon lui les « huit crimes parfaits » de la littérature policière, c’est à dire ceux pour lesquels la police ne pourra jamais trouver le coupable. 

Malcolm ne tient plus ce blog, ce billet lui est sorti de la tête.

Or voilà qu’une jeune agente du FBI le contacte. 

Elle pense à un lien entre des crimes ou décès récents, aux procédés très différents, à priori sans lien, sauf pour ceux qui auraient lu le billet de blog de Malcolm. Car les procédés se rapprochent à chaque fois de ceux d’un de ces  » huit crimes parfaits ». 

L’agente du FBI sollicite juste l’expertise de Malcolm par rapport à ses doutes. Mais au fur et à mesure qu’il s’intéresse à ces affaires, Malcolm sent que beaucoup de liens le rattachent à ces crimes et sent  l’étau se resserer.

La tension monte progressivement au fur et à mesure qu’on en apprend sur la vie passée de Malcolm. On finit par soupçonner Malcolm, puis chaque protagoniste de ce roman. Et puis le dénouement final, que je n’ai pas vu venir. Du thriller qui remplit bien sa fonction, donc.

Écriture limpide, immersive, malgré quelques petites longueurs et une explication finale un peu tirée par les cheveux selon moi, ça reste une chouette lecture, je recommande aux amateurs de thriller/policiers américains. 

Lecture | Sur la ligne noire, de Joe R. Lansdale

13 dimanche Fév 2022

Posted by Roseleen in avis de lecture, lecture, littérature américaine, thriller

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Stanley, 13 ans, vit dans le drive-in tenu par ses parents, dans une petite ville paumée du Texas. Nous sommes en 1958, dans une Amérique au comble du puritanisme et du ségrégationnisme. 

La famille de Stanley est très aimante et ouverte d’esprit, surtout la mère, qui interdit à ses enfants de prononcer l’affreux mot « négro » que tout le monde emploie. Le père, travailleur, au coeur tendre mais trop impulsif, suit le mouvement. 
Les deux employés noirs du drive-in font partie de la famille, qui va jusqu’à reccueillir Rosy Mae le jour où elle arrive blessée par les coups de son compagnon alcoolique, un gars cinglé qui menace de la tuer, ainsi que la famille de Stanley.
C’est l’été, il fait très chaud et Stanley s’ennuie. Son meilleur ami n’est pas trop disponible, accablé de corvées par son père, un fermier prédicateur barré et violent, raciste, misogyne et tout ce qui va avec.
Au hasard d’une balade dans la forêt derrière le drive-in, Stanley découvre près d’une maison en ruine un coffret à moitié déterré, contenant les lettres d’une jeune fille assassinée une dizaine d’années plus tôt. Il en parle à sa soeur, qui se montre intéressée un certain temps, mais qui préfère profiter des vacances pour sortir boire des milkshakes avec ses prétendants coiffés de bananes gominées et flirter.
Alors Stanley se confie à Buster, le vieux projectionniste noir du drive-in noir, un homme bourré d’intelligence mais aux humeurs bien changeantes en raison de  son alcoolisme. Tous deux vont devenir très amis et s’employer à démêler deux crimes non résolus. 
Le temps d’un été, Stanley va découvrir la vraie vie et passer de l’état d’adolescent naïf à un état d’adulte bien plus mature que certains.
Personnages fouillés très attachants, plume riche qui nous immerge à fond dans les fifties (je me croyais dans la géniale série « Happy Days » qui a bercé mon adolescence), ton fin, espiègle et drôle, intrigue très prenante tout du long, des scènes qui fichent bien les chocottes et tout plein de rebondissements, voilà du super roman noir américain !
 J’avais découvert Joe R. Lansdale avec « Les marécages », que j’avais adoré. Je sens que je vais dévorer tous les opus de ce génial écrivain texan qui fut chercheur d’or, charpentier, plombier, fermier, avant de se consacrer uniquement à l’écriture.

Bon dimanche ! Ici, sieste à fond…

La danse du temps

15 jeudi Oct 2020

Posted by Roseleen in lecture, littérature américaine

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Anne Tyler, c’est une auteure américaine  que j’apprécie énormément.

J’aime la façon dont elle parle de la condition humaine, plus spécifiquement de la condition féminine. 

Elle a le don de transformer des femmes ordinaires en véritables héroïnes, des héroïnes dont on se sent proches. De façon très subtile, avec beaucoup d’intelligence, de tendresse et un petit brin d’espièglerie, elle les fait sortir de leurs petits ou grands carcans. 

Son oeil hyper aiguisé sur notre société contemporaine et les rouages de l’humain me laisse toujours baba. Je ressors toujours enchantée de la lecture de ses romans et je l’avoue un peu jalouse car c’est exactement ce que j’aimerais savoir écrire. Ça vous fait pas çà, parfois, de finir un livre et de vous dire : « Purée,  si j’écrivais, j’aimerais retranscrire ce genre d’ambiance, avoir des personnages comme çà, raconter de telles histoires… » ? Ben voilà, elle me fait me dire çà à chaque fois, Anne Tyler. 

Dans ce roman, on suit Willa, entre ses 11 ans et ses 67 ans. Enfant, bien que choyée et bientraitée, la singularité de ses parents lui laissera de petites blessures et surtout de grandes certitudes qui la feront se construire dans un souci de sécurité matérielle et une recherche affective constante. 

Willa, c’est la super gentille qui veut  toujours faire plaisir à tout le monde et se met en second plan. C’est hyper intéressant cette description du développement de la personnalité de Willa au fil des événements de sa vie.
À plus de 60 ans, remariée à un avocat fraîchement retraité qui ne vit que par le golf, elle vit dans un grand confort matériel, mais sans jamais avoir réellement choisi ni pris de risque. Elle sent bien qu’elle est passée à côté d’un truc, mais ne sait pas trop quoi. Après tout, elle a tout pour être heureuse…

Sur un malentendu qu’elle va choisir de faire durer, Willa va quitter sa villa chic et entrer dans la vie d’inconnus dans la banlieue de Baltimore, des gens simples, originaux et croustillants auxquels elle va s’attacher. Elle va découvrir que d’autres vies existent, qu’elle peut choisir, qu’elle a une personnalité qui compte pour d’autres. 

Passionnant, hyper bien construit, écriture limpide et pertinente, vous l’avez compris, j’ai adoré.

Je lorgne sur son dernier roman sorti,  » Un garçon sur le pas de la porte », pas sûr que j’ai la patience d’attendre sa sortie poche.

« Fin de ronde » de Stephen King

22 samedi Août 2020

Posted by Roseleen in avis de lecture, book, book talk, lecture, littérature américaine, livre, passion lecture, roman, stephen king, suspens, thriller

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[attention aux spoils si vous n’avez pas lu et que vous comptez lire les tomes 1 et 2, « Mr Mercedes » et « carnets noirs » ]

« Fin de ronde » est le dernier tome de la trilogie « Mr Mercedes » de Stephen King. Nous voilà 5 ans après le massacre perpétré par l’affreux Brady au volant d’une Mercedes. On y retrouve Bill et Holy qui tiennent désormais une agence de détectives privés.

Dans le tome 2, « carnets noirs », Brady, ce désaxé ultra déterminé dans le massacre de masse, avait voulu remettre çà sur une autre modalité, auprès d’une foule d’adolescentes en délire. Brady finissait le cerveau fracassé, mode légume, dans un service spécialisé dont il ne pourrait jamais ressortir. Paf. Bien joué Holy.
Seulement voilà. À la fin de ce tome 2, King nous laissait entendre que Brady développait des pouvoirs télékinésiques du fond de son lit d’hôpital, laissant à penser que l’horrible  Brady n’était peut-être pas si hors d’état de nuire que çà…

J’avais adoré les 2 premiers tomes car il s’agissait d’enquêtes policières ultra palpitantes et originales, sans une once de surnaturel. Sous la plume kingesque que j’adore, c’était que du bonheur. 

À la fin du tome 2 et cette hypothèse de certains pouvoirs surnaturels chez Brady, je redoutais fortement que King nous embarque à fond là-dedans dans le tome 3, moi qui n’aime pas trop (du tout) çà. 

Bingo. Il y va à fond. Çà ne m’a pas du tout accrochée. Pas mon truc. Me suis bien ennuyée du coup, niveau histoire. Mais j’ai été heureuse de retrouver Bill, l’ancien flic inflexible et humaniste et l’étrange et génialissime Holy, ainsi que tous les autres personnages. Et bien sûr l’écriture de King, son humour, sa vision si pertinente du monde et de l’humain, çà c’était vraiment un gros plaisir. 
Mais selon moi, c’était un tome de trop. King a sans doute voulu nous faire retrouver les personnages (il a raison, ils sont géniaux) et finir sur une lutte à mort Bill/Brady (çà se comprend, c’est mi-achevé à ce niveau dans le tome 2). Il n’avait pas d’autre choix pour celà que d’inclure du paranormal de ce dernier tome. Et puis il adore çà, le King, c’est son fond de commerce après tout, le surnaturel. Une petite touche ne m’aurait pas déplu mais là, ça va vraiment bien trop loin à mon goût. Ceci-dit, pour les amateurs de surnaturel ou paranormal, je suis sûre que çà plaira.

De si bons amis

06 jeudi Fév 2020

Posted by Roseleen in avis de lecture, book, book talk, lecture, littérature américaine, litterature américaine, livre, passion lecture, point lecture, roman, roman contemporain, roman psychologique

≈ 9 Commentaires

Gros coup de coeur pour ce roman américain de Joyce Maynard dont je découvrais la plume et l’univers. Je vais je pense me procurer tous ses romans car j’y ai trouvé un condensé de tout ce que j’aime en littérature : profondeur, humanisme, analyse sociétale, personnages crédibles et réalistes, touches d’humour sur fond grave.

Helen est photographe mais est obligée de compléter son activité libérale par des petits boulots car elle s’est ruinée en frais d’avocat pour obtenir la garde de son fils. Sans soutien familial, avec une seule vraie amie sur qui elle peut compter, elle galère. Le soir, lorsque son fils est couché, elle a pris l’habitude de décompresser avec un verre, voire deux, voire plus…

Helen se fait prendre à conduire en état d’ivresse et là, c’est la chute : retrait de permis, retrait de la garde de son fils, obligations de soins, visite deux samedis après-midi par mois à son fils. Desespérée, Helen s’accroche, décide de ne plus jamais boire, se bat pour essayer de maintenir un lien avec son fils qui se renferme et lui échappe.

Lors d’un vernissage où elle fait un extra de serveuse, Helen fait connaissance d’Ava, femme en fauteuil roulant, adorable et charismatique, et de son mari Swift. Un couple très fortuné, fantasque, amateur d’art, très engagé dans des actions caritatives pour les chiens, grande passion d’Ava. 

Ava va s’enticher d’Helen, la prendre sous son aile. Helen, perdue, manquant de confiance, va plonger dans cette amitié qui la flatte mais qui peu à peu l’isole, la rend dépendante. Elle est fascinée par Ava et Swift, leurs objets d’art, leur maison, leur générosité, leurs fêtes démesurées, l’intérêt qu’ils lui portent. Helen se laisse porter par cette relation, qui lui fait du bien. Elle délaisse peu à peu sa meilleure amie et n’hésite pas à répondre à tous les caprices d’Ava. Elle ne pense qu’à récupérer son fils. D’autant que Swift lui a promis de lui payer les meilleurs avocats. 

Bref, une jolie histoire…Mais des doutes commencent peu à peu à s’insinuer dans notre tête de lecteur lorsque Helen se lie à un homme simple et sympathique qui ne semble pas porter Ava et Swift dans son coeur. Helen, elle, ne voit rien et remet plutôt en question cet homme que ses amis méprisent et humilient. Et puis lorsqu’elle présente son fils à ses nouveaux amis, celui-ci est fasciné par Swift qui, lui, fait preuve d’une immaturité débordante. Et tout va déraper.

J’ai adoré ce roman. L’écriture est fluide, les chapîtres courts font monter très progressivement la pression, pour nous amener à un  bon suspens. 

Helen est un personnage très touchant, fragilisée par une enfance difficile, un mariage raté, cultivée, dotée d’un super sens de l’humour, un peu naïve, une super maman malmenée par la vie, qui s’accroche à ce qu’elle peut, n’hésite pas à mentir pour se mettre en valeur, tant elle manque de confiance en elle.

C’est un super roman sur l’amitié, la manipulation, la domination. Un roman incroyablement glaçant car très subtil et réaliste. Un roman qu’on a bien du mal à lâcher tant on veut savoir jusqu’où tout ça va bien pouvoir aller…

Bref, une lecture que je recommande chaudement !

Le coeur battant de nos mères  & Concours !

30 samedi Nov 2019

Posted by Roseleen in avis de lecture, évasion, book, book talk, club de lecture, culture, lecture, littérature américaine, livre, partage, passion lecture, point lecture, roman, roman contemporain

≈ 17 Commentaires

Voici mon article sur le livre que je vous avais proposé en lecture pour ce mois de novembre…

Nadia, 17 ans, vit à Oceanside, une petite ville de la côte californienne où le Cénacle, centre religieux, est au coeur de la vie sociale et culturelle. Nadia vit seule avec son père, un Marine, depuis que sa mère s’est suicidée il y a plusieurs mois. Ils se parlent peu, avec son père. Celui-ci semble s’être coupé de toutes ses émotions et passe son temps libre à rendre service au Cénacle, ou à soulever de la fonte au fond du jardin.

Nadia, élève brillante, est seule, complètement paumée. Elle cherche du reconfort dans les fêtes et l’alcool. Elle tombe amoureuse de Luke, le fils du pasteur. 

Lorsqu’elle lui annonce qu’elle est enceinte, qu’elle va avorter car elle ne veut pas reproduire la vie de sa mère et lui a promis de faire des études, Luke est ébranlé. Il se confie à ses parents qui s’empressent de lui refiler de l’argent pour l’avortement. 

Peu après, Nadia quitte la Californie pour entamer ses études de droit. Mais son coeur reste à Oceanside malgré toute la distance qu’elle tente de mettre…

Ce roman est une petite merveille, un trésor se sensibilité. Les émotions cachées de Nadia sont si subtilement décrites…ses blessures d’enfance, sa relation à sa mère, le rapprochement vers son père, l’amour et la loyauté envers sa meilleure amie, le développement du lien maternel pour ce bébé non né, le lien avec Luke. 

Être parent sans qu’il y ait enfant…voilà un thème très intéressant, original, traité avec douceur et intelligence. Vraiment, quelle pépite ce roman ! De la littérature américaine comme je l’aime. C’est incontestablement un de mes coups de coeur de l’année 2019. L’auteure est âgée de moins de 30 ans. Le magazine « Elle » la décrit comme  » une Toni Morrison en herbe ». Je suis plus que d’accord et vais suivre de très près ses autres publications. Une lecture que je recommande +++ !

L’avez-vous lu ?

Bon, le concours, maintenant. 

Je ne sais pas comment j’ai fait mon compte (enfin si, hein, en librairie ce livre a dû me taper dans l’oeil deux fois et la seconde fois j’avais oublié que je l’avais dejà acheté, çà m’arrive parfois…), bref le fait est que je possède 2 exemplaires de ce livre. 

Du coup, j’ai décidé de vous en offrir un.

S’il vous intéresse, faites-le moi savoir en commentaire ! Je laisse jusqu’à samedi prochain (6 décembre) l’ouverture de ce petit concours puis je tirerai au sort le ou la gagnante.

N’hésitez pas à participer, même de l’étranger !

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